J.P. OUVRY
Avoir parcouru, à des dizaines de reprises, depuis 1981, des milliers de km de routes et surtout de pistes dans tous les pays d’Afrique de l’Ouest, laisse des traces.
Avoir vécu, construit, soigné, réparé, aimé, souffert, pleuré parfois, dans cette terre de mystères si simples, laisse des traces.
Toutes ces rencontres dans les ghettos, la brousse, le sahel et les capitales, laisse des traces.
Vivres avec des peuls, des touareg, des mossis, des bambaras et surtout les dogons, laisse des traces.
Des œuvres contemporaines ou d’art « dit » premier, laisse plus que des traces.
Une matière de bronze de bois et de terre pour témoigner de l’Esprit.